Vince Gill

A ma connaissance il n'y a pas de post dédié à Vince Gill...




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ALBUMS :
1984 - Turn Me Loose
1985 - The Things That Matter
1987 - The Way Back Home
1989 - When I Call Your Name
1991 - Pocket Full of Gold
1992 - I Still Believe in You
1993 - Let There Be Peace on Earth ( Album de Noël )
1994 - When Love Finds You
1996 - High Lonesome Sound
1998 - The Key
1998 - Breath of Heaven ( A Christmas Collection )
2000 - Let's Make Sure We Kiss Goodbye
2000 - 'Tis the Season ( Album de Noël avec Olivia Newton John )
2003 - Next Big Thing
2006 - These Days


PRINCIPALES COMPILATIONS :
1995 - Souvenirs
2006 - Christmas Collection ( Compilation de Noël )
2007 - 20th Century Masters - The Millennium Collection
2010 - Love Songs


VHS / DVD :
1996 - Souvenirs Live at Ryman (VHS)
2005 - Eric Clapton : Crossroads Guitar Festival ( 2DVD )
2007 - Eric Clapton : Crossroads Guitar Festival 2007 ( 2DVD )
2010 - Eric Clapton : Crossroads Guitar Festival 2010 ( 2DVD )

Salut Thanu,

Je me suis permis de rajouter les compilations qu'on trouve souvent ( dont la nouvelle 2010, les albums de Noël et les DVD où on peut le voir )

Je n'ai jamais osé ouvrir quoi que ce soit sur Vince Gill car je le connais mal et je n'en ai pas une super image ( ceci expliquant peut-être cela ).

De surcroit, pas facile de la voir en image comme guitariste principal, car on ne trouve que ses ballades un peu sirupeuses. Et le festival Crossroads avec Clapton lui a permis de s'exprimer différement que le crooner country et c'est tant mieux !


VINCE GILL, ALBERT LEE, RICKY SKAGGS & JAMES BURTON - Mystery Train ( 2010 ? )

Citation :

Je me suis permis de rajouter les compilations qu'on trouve souvent ( dont la nouvelle 2010, les albums de Noël et les DVD où on peut le voir )

oui tu as bien fait..

Citation :

Je n'ai jamais osé ouvrir quoi que ce soit sur Vince Gill car je le connais mal et je n'en ai pas une super image ( ceci expliquant peut-être cela ).

Un grand chanteur country selon moi et un grand guitariste à ce qu'on dit... un crooner qui a pu verser dans le sirupeux c'est vrai mais avec un peu d'efforts on entre avec plaisir dans ses albums même les plus commerciaux... grâce à sa voix extraordinaire!

Hi,

Histoire de faire connaissance avec ce grand bonhomme de la Country qui laissera une trace durable dans l'histoire de cette musique,

Une petite bio "inédite" rédigée au début du siècle pour une revue défunte. Vous compléterez sans mal la disco depuis 2003, si ce n'est que l'homme figure en "guest" d'un nombre incalculable d'albums;


Vince Gill

Bien peu d’artistes des générations musicales précédentes résistèrent à la déferlante de la New Country Music survenue avec les années 90. Devenu boulimique en matière de ventes, l’Establishment de Nashville pratique une politique redoutable et gare à quiconque n’atteint pas les objectifs commerciaux fixés par les dirigeants les majors labels, ogres opportunistes, sans reconnaissance des performances passées. Dans un tel contexte, difficile d’accéder aux plus hautes marches et encore plus ardu de s’y maintenir, le statut durable de star n’étant réservé qu’à une élite.

Parmi ces déjà légendes, une génération d’aujourd’hui quinquas, voire sexagénaires aura réussie à marquer d’une emprunte indélébile l’histoire déjà fort riche de la Country Music. Ils ont pour nom Ricky Skaggs, Chris Hillman, Marty Stuart et Vince Gill. En commun, un parcourt musical qui les fera se croiser régulièrement au hasard de leur carrière. Généralement bercés par le Bluegrass, ils s’ouvrent rapidement à des formes musicales contemporaines. Adeptes de la première heure du Newgrass ils partent en stage en Californie où ils s’adonnent au Country Rock. Multi-instrumentistes doués ils auront l’occasion de travailler avec nombre de pointures d’horizons diverses, achevant une formation complète qu’ils expriment par le biais du Honky Tonk Héritage puis de la New Country qui en découle. Enfin reconnus à titre personnel, ils accèdent à un statut de super star avant de, n’ayant pus de compte à rendre, se retirer des premiers plans pour s’exprimer selon leurs désirs, sans contrainte. Tout naturellement ils en reviennent à leur premier amour, le Blue Grass, dont quelques-uns signent les plus belles réalisations des années 90, en contre pied total de la production New Country. Et le plus beau, c’est que ça marche y compris commercialement.


Vincent Grant Gill naît le 12 avril 1957 à Norman en Oklahoma. De son père juge de paix, il hérite d’un attrait certain pour la musique (son père et son grand frère seront membres d’une même formation de Bluegrass). Enfant, il touche une première guitare à 4 cordes, à 10 ans, on lui offre une Gibson ES 335 avec ampli. Il complète cette formation par des cours de fiddle de 1964 à 1967. Sa fidèle guitare l’accompagne dans ses premiers pas musicaux au sein de groupes de Garage Rock. Revenu au Bluegrass, il intègre Bluegrass Revue, une formation dont le répertoire traditionnel fait parfois place à des adaptations de morceaux signés Paul McCartney et John Lennon. Coté guitare, Vince apprécie Jimmy Bryant, James Burton, Chet Atkins, Eric Clapton et surtout Don Rich le lead guitare des Buckaroos de Buck Owens.

Passé professionnel après une graduation à la Northwest High School d’Oklahoma City, Vince s’investit dans le Bluegrass et rejoint le groupe des Mountain Smoke. Avec cette troupe originaire d’Oklahoma City, Vince participe à la réalisation de « On Blue Ridge », sa première galette de vinyle dont « July You’re A Woman » lui offre un petit succès local courant 1975. L’année suivante, ils sont en première partie de Pure Prairie League que Vince rejoindra quelques années plus tard. Autre ouverture mémorable, celle de KISS en 1975 où ils se font copieusement jeter par un auditoire de hard rockers assez peu enclin à s’intéresser au Blue Grass acoustique. Vince quitte Mountain Smoke et part pour Louisville dans le Kentucky, patrie de Bluegrass Alliance dont Dan Crary et Sam Bush (Tony Rice y fit également un court séjour) l’initient au New Grass. Un second album enrichi sa modeste discographie, « Kentucky Blue » sur Américan Héritage. Ensuite il rejoint Boone Creek formation initiée par un duo de surdoués, Ricky Skaggs et Keith Whitley. Il n’existe malheureusement à ma connaissance aucune trace sur bande de la période Boone Creek avec Vince Gill.

Poursuivant une évolution vers le New Grass, Vince accepte en 1976 la proposition de Byron Berline de rejoindre Sundance. Occasion pour lui de fréquenter le microcosme du Newgrass californien, étape indispensable vers le Country Rock local. Il ne tarde d’ailleurs pas à rencontrer quelques ténors du genre, notamment lors d’un concert de Sundance au Troubadour Club, où sont présents dans la salle : Dolly Parton, Guy Clark, Emmylou Harris et Rodney Crowell. Avec Sundance, Vince enregistre « Live At Mc Cabe’s ».

Le voilà dès 1979 au sein des Pure Prairie League l’une des formations phare du Country Rock californien avec une première concrétisation sur cire : « Can’t Hold Back » sur R.C.A. Records. Engagé prioritairement pour ses talents de multi-instrumentiste (guitare, mandoline, fiddle, banjo), Vince va faire profiter le groupe de sa superbe voix de ténor doux et y apporte une touche de Country traditionnelle. Politique musicale boudée par les autres membres de Pure Prairie League plus enclins à se tourner vers un Rock commercial rémunérateur. Vince participe encore à un album édité sur Casablanca records : « Firin’ Up » en 1980 dont émerge « Let Me Love You Tonight » puis « Something In The Night » (il y signe 6 titres) l’année suivante sur Mercury. Sa discographie Pure prairie League s’enrichie de deux compilations en 1995 « Best Of » et 1999 « Greatest Hits »

Les Cherry Bombs de Rodney Crowell (alors marié sur scène et dans la vie à Rosanne Cash fille aînée de l’Homme en Noir) sont en passe de perdre leur guitariste soliste, le britannique et néanmoins génial Albert Lee. Vince accepte avec enthousiasme de le remplacer d’autant qu’il retrouve sur place Emory Gordy Junior et Tony Brown son futur producteur chez R.C.A puis M.C.A..

Courant 1982, Vince réintègre les rangs des « New Grasseux » et, sur la proposition de David Grisman, rejoint Nashville pour participer à la réalisation de l’album « Here Today » (Rounder records) l’une des galettes de référence en matière de Blue Grass sur la décennie avec une distribution remarquable : Herb Pedersen, Emory Gordy, David Grisman et Jim Buchanan.

Discographie (albums) 1975 – 1982
1975 – On Blue Ridge – (au sein de Mountain Smoke)
1975 - Kentucky Blue - American Heritage (au sein de Bluegrass Alliance)
1979 – Can’t Hold Back – RCA AFL1 3335 – (au sein de Pure Prairie League)
1980 – Firin’ Up – Casablanca - (au sein de Pure Prairie League)
1981 – Something In The Night – Mercury - (au sein de Pure Prairie League)
A noter deux compilations « Pure Prairie League » en CD
1995 – The Best Of – Mercury
1999 – Greatest Hits –
1982 – Here Today – Rounder (avec David Grisman, Herb Pedersen, Jim Buchanan et Emory Gordy)

A Music City, le nom de Vince Gill fait son petit bout de chemin et en 1983, convainc timidement les dirigeants de R.C.A. Records, initiateurs d’un mini. L.P. de 6 titres. Lancé sur le marché en 1984, « Victim Of Life’s » Circumstance, tiré de « Turn Me Loose », lui offre sa première performance personnelle au niveau national (40ème) et son premier Award avec celui de « New Male Vocalist Of The Year » 1984 décerné par l’Académy Of Country Music. Le succès aidant, on lui demande de tourner un premier clip sur « Turn Me Loose ». L’orientation musicale de Vince s’inscrit alors dans la mouvance des new traditionalists dont George Strait, Randy Travis, Dwight Yoakam et son ex-complice Ricky Skaggs s’imposent en tête de file. Mais pour Vince, l’heure de la consécration ne semble pas encore avoir sonnée, après 6 ans de collaboration et trois nouveaux L.P. « The Things That Matter » – 1985 ( son duo avec Rosanne Cash sur « If It Wasn’t For Him » se classe au top ten et « Oklahoma Borderline » atteint la 11ème place), « The Way Back Home » – 1986 (7ème place pour « Cindirella », 16ème pour « Let’s Do Something » avec Bonnie Raitt en guest star et 11ème pour « Everybody’s Sweetheart »), « The Best Of » – 1989, R.C.A. et lui divorcent. Dès 1989, il rejoint les rangs d’un autre major leader sur le marché Country : M.C.A. Records. Entre-temps, le marché européen le réclame (il s’y produit pour la première fois en 1984, en 83 il visita l’Australie en compagnie d’Albert Lee) et comme ses disques n’ont pas de distribution locale, un L.P. est tiré spécialement par R.C.A. courant 1986, sobrement titré « Vince Gill ».

Il sera particulièrement gâté pour concocter son premier album chez M.C.A. puisque rejoint en studio par les charmantes et talentueuses Patty Loveless (ils chantent le morceau titre de l’album ensemble) et Reba McEntire (« Oklahoma Swing », classé n°1) elle aussi native de l’Oklahoma (tout comme un certain Troyal Garth Brooks). « When I Call Your Name », finalement double platine, installe définitivement Vince Gill dans le peloton de tête de la génération nouvelle de la New Country bientôt véritable phénomène mondial (excepté en France est-il besoin de le préciser !). Dès lors, on s’arrache non seulement le musicien, le songwriter, mais également le chanteur dont on retrouve une trace de collaboration avec plus de 500 artistes, merci pour les biographes amateurs de discographies précises. Pour mémoire, on citera Emmylou Harris avec qui il est resté en contact amical et tourne régulièrement (les Nashramblers de la belle accueilleront un temps John Randall dont la voix est très proche de celle de Vince, le dernier œuvrant d’ailleurs en guest sur les albums du premier – John Randall fut un temps l’époux envié de Lorrie Morgan, mais bref…), également The Sweethearts Of The Rodéo, intéressant duo féminin composée des sœurs Oliver dont Janis deviendra madame Gill, mais aussi Dire Strait dont le leader Mark Knopfler lui propose une place de titulaire dans le groupe. Sa carrière bien entamée à Nashville, Vince décline l’offre, merci pour nous.

Discographie (albums) pour les années 80
1984 – Turn Me Loose – RCA Victor MHL1-8517 (la réédition 56325 comporte deux titres supplémentaires)
1985 – Things That Matter - RCA Victor CPL1 5348
1987 – The Way Back Home – RCA 5923
1989 – The Best – RCA 9814
1989 – When I call Your Name – MCA 42321


Une année 1990 conclue en beauté avec l’obtention de l’Award CMA du single de l’année pour « When I Call Your Name ».

Deux ans après « When I Call Your Name », « Pocketfull Of Gold », toujours sur M.C.A. confirme Vince dans son statut de star et lui offre son deuxième album cassé double platine. Petite baisse de régime l’année suivante pour « I Never Knew Lonely » un Greatest Hits R.C.A. dont « seuls » 500.000 exemplaires, soit un disque d’or sont vendus. Il ne s’agissait que d’une courte pose dans la carrière de Vince Gill puisque l’album suivant sur M.C.A., « I Still Believe In You » obtient le quadruple platine et figure dans les dix meilleures ventes de l’année, son record à aujourd’hui. Conséquence directe de tels résultats, Vince est introduit membre régulier du Grand Ole Opry une consécration rendue prestigieuse par la présence du maître incontesté des lieux, Roy Acuff qui accueille personnellement Vince parmi l’élite du genre le 10 août 1991. Outre le musicien de talent, l’establishment de Nashville salue l’homme toujours affable et Vince accepte l’honneur de présenter les Awards C.M.A. 1992 (aux cotés de Reba) durant lesquels cette année, il reçoit ceux de « Male Vocalist Of The Year » (face à, excusez du peu : Alan Jackson, Travis Tritt, Garth Brooks et Joe Diffie) et « Song Of The Year », pour « Look At Us ».

1993 voit la sortie sur M.C.A. de « Let There Be Peace On Earth », un album de Noël suivit d’une tournée européenne, il accuse une petite baisse de rythme et la disparition de son frère ajoute à sa détresse. L’année suivante sonne la reprise et « When Love Finds You » (M.C.A.) décroche un triple platine. A défaut de ne pas profiter de l’actualité de leur ancien poulain, les dirigeants de R.C.A. continuent d’exploiter les bandes en leur possession et « Turn Me Loose » est réédité suivit d’un nouveau best of, « And Friends », qui exploite la veine des nombreuses association de Vince avec d’autres artistes. Toujours présentateur officiel de la cérémonie des Awards C.M.A., cette fois aux cotés de Clint Black, il en repart les bras chargés des titres de « Male Vocalist », « Song Of The Year », « Vocal Event » (« I Don’t Need Your Rockin’ Chair » avec George Jones) et le plus prestigieux, « Entertainer Of The Year ». Autre récompense remarquée, son « Minnie Pearl Award » qui salue sont investissement dans diverses causes humanitaires.

1995, « Souvenirs » (M.C.A.) est classé platine, il faut dire que son velouté de voix colle particulièrement bien aux ballades douces ou semi-rapides dont il s’est fait une spécialité. L’année suivante, « High Lonesome Sound » confirme ce choix mais si l’album se vend bien (platine), on remarque une tendance à la baisse, le public se tournant vers de nouvelles têtes. Vince en profite pour se ressourcer et il participe à « The White Album » pour Jeff White, un disque de copains où il retrouve l’incontournable Jerry Douglas (encore un dont la discographie est un véritable bottin) Ronnie McCoury et Alison Krauss, également présente pour « High Lonesome Sound », un album démarqué de sa production habituelle qu’il présente lui-même comme situé entre Buck Owens et Little Feat

S’en suit une période de doute aggravée par son divorce d’avec Janis. 1997 sera une année vierge en matière de studio ce dont profite R.C.A. pour éditer deux compilations : « 35 All Time Favorites » et « Vintage Gill », peut être en profite t’il pour se consacrer plus assidûment à ce qu’il présente comme son véritable job, le golf (il est également féru de pizza) sachant que la musique n’est qu’une passion. Heureusement, il ne tarde pas à privilégier sa passion et, en 1998 il nous concocte un album superbe, « The Key », salué par les critiques. Suit « Breathe Of Heaven » prétexte à une tournée sur la thématique de Noël.

En 1999, il travaille avec Barbara Streisant sur « If You Ever Leave Me », duo sans doute moins commercialisé que celui de la diva avec Céline Dion, mais tout aussi bon.

Discographie (albums) pour les années 90
1991 – Pocket Full Of Gold – MCA 10140
1992 – I Never Knew Lonely – RCA 61130
1992 – I Still Believe In You – MCA 10630
1993 – Let There Be Peace On Earth – MCA 10877
1994 – When Love Finds You – MCA 11047
1994 – And Friends – RCA 66432
1994 – Pocket Full Of Live Songs – RSM 060
1995 – Souvenirs – MCA 11394
1995 - High Lonesome Sound MCA 11422
1996 – Super Hits – RCA 66944
1998 – Vintage – RCA 44528
1998 – The Key – MCA 70017
1998 – Breath of Heaven – MCA 70038

Vince achève le millénaire en épousant Amy Grant le 10 mars 2000 et en enregistrant matière à un nouvel album, toujours sur M.C.A. Records : « Let’s Make Sure We Kiss Good-Bye »

Toujours présentateur en titre de la cérémonie des C.M.A. Awards, Vince est en ce domaine l’artiste le plus titré avec pour mémoire :
Song Of The Year – 1990 – 1991 – 1992 – 1993 - 1996
Album Of The Year – 1993 – 1994
Vocal Event Of The Year – 1991 (Mark O’ Connor) – 1993 (George Jones) – 1996 (Dolly Parton) –
1998 (Patty Loveless)
Male Singer Of The Year – 1991 – 1992 – 1993 – 1994 – 1995
Entertainer Of The Year – 1993 - 1994 -

Il demeure en outre le seul artiste de Country Music à bénéficier d’au moins un Grammy Award (OSCAR de la musique) 10 années consécutives. Quant au reste de ses récompenses diverses et variées, mieux vaut consulter son site Internet officiel tant la liste est impressionnante.

Les fans doivent attendre 2003 pour profiter d’un nouvel album « Next Big Thing » toujours sur M.C.A.

Discographie (albums) pour les années 2000
2000 – Let’s Make Sure We Say Goodbye – MCA 70098
2003 – Platinum & Gold Collection – MCA 54211
2003 – Next Big Thing – MCA 70286[b]

Citation :

Une petite bio "inédite" rédigée au début du siècle pour une revue défunte.

cool! j'osais pas le demander mais j'espérais "pourvu que Hillbilly nous fasse quelque chose!"

Merci!

Citation :

Passé professionnel après une graduation à la Northwest High School d’Oklahoma City, Vince s’investit dans le Bluegrass et rejoint le groupe des Mountain Smoke. Avec cette troupe originaire d’Oklahoma City, Vince participe à la réalisation de « On Blue Ridge », sa première galette de vinyle dont « July You’re A Woman » lui offre un petit succès local courant 1975.

J'ai trouvé quelques photos de cette époque sur le site de Mountain Smoke (le groupe existe toujours) :


1975 - Vince Gill est 2ème en partant de la droite


1975 - C'est la couverture de On Blue Ridge, Vince Gill debout en salopette à l'arrière plan


1975 - En concert à Cement OK, Vince Gill au banjo

Par contre je trouve pas de trace musicale sur Youtube ou ailleurs...

Hi

Mais pas de quoi Thanu, c'est un plaisir d'échanger nos bons plans,

Si il y a d'autres artistes qui t'interpelles, n'hésite, pas, si j'ai en catalogue...

Et cool les photos, mais si le Vince Gill de l'époque peut se targuer d'avoir une belle tignasse, il reste petit joueur à coté de Marty Stuart dont les photos (avec chapeau s'il vous plait) de ses débuts "bluegrass" chez lester flatt où avec curly secker sont toujours un grand bonheur visuel.

hee haw

Citation :

Passé professionnel après une graduation à la Northwest High School d’Oklahoma City, Vince s’investit dans le Bluegrass et rejoint le groupe des Mountain Smoke. Avec cette troupe originaire d’Oklahoma City, Vince participe à la réalisation de « On Blue Ridge », sa première galette de vinyle dont « July You’re A Woman » lui offre un petit succès local courant 1975.

En fait on peut écouter July You're A Woman sur le site de Mountain Smoke : http://www.mountainsmokeband.com/music.html
C'est Vince Gill qui chante même si on le reconnaît pas vraiment. Une chanson du grand John Stewart, soit dit en passant.

Citation :

Vince quitte Mountain Smoke et part pour Louisville dans le Kentucky, patrie de Bluegrass Alliance dont Dan Crary et Sam Bush (Tony Rice y fit également un court séjour) l’initient au New Grass. Un second album enrichi sa modeste discographie, « Kentucky Blue » sur Américan Héritage.

Quelques témoignages du passage de Vince Gill dans Bluegrass Alliance :

(toutes ces photos viennent du site http://www.myspace.com/thebluegrassalliancetribute)


Vince est en haut à gauche (jolie coupe)


L'album Kentucky Blue recto...


... et verso



VINCE GILL & The Bluegrass Alliance | Million Dollar Cowboy bar - Jackson Hole, Wyoming | July 1976


Pareil que la photo au-dessus.


Vince Gill à la même époque

Si j'en crois cet article découvert sur http://www.myspace.com/thebluegrassalliancetribute, Bluegrass Alliance période Vince Gill s'était transformé en Lazy River :




LAZY RIVER (Vince Gill - Bill Millet - John Jump - Robert Pool - Bob Briedenbach) fall 1976


"Lazy River, formerly Bluegrass Alliance"

Pour en revenir à la musique, toujours sur http://www.myspace.com/thebluegrassalliancetribute, on peut écouter 3 morceaux de Bluegrass Alliance featuring Vince Gill : Louise, Lonesome Feeling et Tennessee Blues, apparemment des extraits de Kentucky Blue.

Citation :

Poursuivant une évolution vers le New Grass, Vince accepte en 1976 la proposition de Byron Berline de rejoindre Sundance. Occasion pour lui de fréquenter le microcosme du Newgrass californien, étape indispensable vers le Country Rock local. Il ne tarde d’ailleurs pas à rencontrer quelques ténors du genre, notamment lors d’un concert de Sundance au Troubadour Club, où sont présents dans la salle : Dolly Parton, Guy Clark, Emmylou Harris et Rodney Crowell. Avec Sundance, Vince enregistre « Live At Mc Cabe’s ».

Oh là là, je suis loin d'avoir tout lu mais je vais apprendre plein plein de choses sur le bonhomme !

Il y'a eu un triple album ou une triple compilation de Vince Gill récemment , je me trompe ?

Citation :

Il y'a eu un triple album ou une triple compilation de Vince Gill récemment , je me trompe ?

tu parles sans doute de son quatruple album These Days. Ce n'était pas une compilation mais bien un album de chansons originales avec une ambiance différente pour chaque disque : bluegrass, rock, ballades ... On comprend que depuis ça Gill n'ait pas sorti d'autres albums, il se repose un peu!

Hi,

Cet ensemble de 4 albums est incontournable, il valu d'ailleurs à Vince Gill un Grammy Award de best album Country.

A consommer sans attendre.

Hee Haw

Hello...

J'adore la vidéo au tout début du sujet...


Mais j'ai un immense doute...
Ce n'est pas Vince Gill là dessus mais à mon avis c'est Brent Mason...
Bon si ça se trouve je me plante...
c'est vrai qu'ils se ressemblent...

édit: je viens de regarder les quelques commentaires de la vidéo et personne ne relève d'erreur.
Donc ça doit être moi mais je reste avec un énorme doute...
édit2: Bon je me suis sans doute gouré...


Vous faites comme si je ne m'étais pas trompé et on en parle jamais plus.....

Laurent a écrit:

De surcroit, pas facile de la voir en image comme guitariste principal, car on ne trouve que ses ballades un peu sirupeuses.  Et le festival Crossroads avec Clapton lui a permis de s'exprimer différement que le crooner country et c'est tant mieux !  

c'est vraiment mal le connaitre que de le considerer comme un country crooner, sinon que dire de George Strait ? Vince est un musicien hors pair, fiddle, mandoline, banjo et bien sur et surtout guitare et pour moi une des plus belle voix de la country, c'est pas pour rien qu'on le retrouve regulièrement comme invité pour des harmonies vocales sur differents albums, c'est chez les hommes l'equivalent d'Emmylou Harris chez les femmes dans ce domaine, il faut le voir en live car malgré ce qu'on peux en dire ces concerts sont tout sauf ennuyeux, je suis justement en train de regarder un live au Ryman de 2007 pour la sortie du coffret "These days" et c'est génial, j'ai eut la chance de le voir plusieurs fois a Nashville et la dernière fois c'etais a Gstaad avec "The Time Jumpers", 2 concerts magnifique

pour les musiciens, un reportage sur Vince et sa collection de guitares