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 Elvis Presley

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Laurent
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MessageSujet: Elvis Presley   Elvis Presley Icon_minitimeLun 9 Jan - 22:18

Elvis Presley Album-elvis-country-im-10000-years-old

Réédition de ELVIS COUNTRY par Sony dans la gamme Legacy, associé à l'album "Love letters from Elvis", axé Rythm and bllues.

http://www.legacyrecordings.fr/elvis-eternelle-legende-elvis-country-legacy-edition/

Dans la série des éditions Legacy d’Elvis, après – entre autres ! – From Elvis In Memphis, le pétaradant retour en forme de 1969 suivant lui même le miraculeux Comeback Special de 1968, voici Elvis Country, fruit d’une hallucinante session de cinq jours et quatre nuits en juin 1970 dans les studios RCA de Nashville, au cours de laquelle le King régénéré et des musiciens au meilleur d’eux-mêmes gravèrent trente quatre fabuleux masters dont l’unique lien apparent, en dehors de leur qualité, s’avéra une commune volonté de référence à l’esprit « roots » d’Elvis le Magicien, qu’une décade de niaiseries hollywoodiennes semblait pourtant avoir définitivement éradiqué.


Ici, un très étrange parallèle peut se risquer : exactement au même moment, quoiqu’en des circonstances et sous des latitudes fort différentes, il arrivait aux Rolling Stones à peu près la même chose : après quelques mois de doutes et d’errances, une série de quatre albums sonnant le Retour de La Charge Victorieuse à partir d’un single-déclic, le diabolique « Jumping Jack Flash » dans leur cas, le poignant « If I Can Dream » dans le cas de Presley, bientôt confirmé par « In The Ghetto » et « Suspicious Mind » dès 1969. Ce qui explique en partie l’enthousiasme reconquis et la confiance retrouvée du King en ce début d’une nouvelle décennie, dont il ne peut imaginer alors qu’elle sera sa dernière sur cette terre qui l’a vu naître, 35 ans plus tôt, dans le dénuement et le bouillon de culture bien particuliers des petits blancs pauvres, à Tupelo, Mississippi. Mais en partie seulement : si le répertoire de base du Comeback Special puisait brillamment dans le cœur de ce Rock ‘n’Roll qu’il avait, sinon inventé, du moins révélé au monde ébahi, et si From Elvis In Memphis rétablissait le Roi des Entertainers sur son trône stylistique et commercial, les séances prévues à Nashville n’avaient rien mais alors rien du tout d’acquis à l’avance…

Comme souvent avec la star aux célèbres foucades imprévisibles, son producteur ( d’alors ) Felton Jarvis ne savait pas exactement quelle direction les séances allaient prendre, sauf qu’étant situées à nouveau à Nashville ( où il y en eut tant de magique à la fin des années 50 !..), une « tonalité country » pouvait se laisser deviner ! Ne serait-ce qu’à cause de la présence des quelques musiciens du cru, que Jarvis avait reçu mission de recruter en exclusivité absolue pour la première semaine de juin 1970. Parmi eux, Charlie McCoy, le multi-instrumentiste dont Bob Dylan avait fait son pivot lors de ses incursions séismiques à Music City ; et David Briggs, sorcier des claviers qui deviendrait sous peu le bras droit de Neil Young quand il viendrait abreuver sa muse dans le coin. La section rythmique venait en droite ligne des studios soul voisins de Muscle Shoals ( Aretha et Otis, bien sûr, mais dans quelques mois les Allman Brothers, puis Derek And The Dominos, Traffic…) Quant au principal guitariste, il avait nom James Burton, et venait de créer le TCB Band pour les concerts à Las Vegas qui venaient de démarrer leurs marathons annuels. Agé de 21 ans, Burton s’était déjà taillé une réputation amplement méritée de tueur fou, pourvu qu’on lui confie une six-cordes de marque Fender Telecaster, preuves établies auprès de ses patrons d’avant, Ricky Nelson et Dale Hawkins ( le « twang » ensorcelant de « Susie Q », c’est lui…) Mais ce qui en fit le chef d’orchestre des derniers grands moments musicaux d’Elvis, c’est que le jeune James avait affronté, comme lui, pour la première fois les feux de la rampe sur la scène éminemment houleuse du Louisiana Hayride de Shrevreport…Sous de tels auspices, les séances des 4, 5, 6 et 7 juin au studio B de RCA sur Music Row ne pouvaient guère verser dans l’ordinaire. Mais qu’elles se révèlent si fécondes en faits d’armes coupa jusqu’au souffle même des principaux intéressés – Elvis Presley et Felton Jarvis en tête !…

En fait, la désinvolture affichée par Elvis n’était qu’un leurre, un bouclier destiné à se protéger de tout et tous : l’artiste en lui, lorsqu’il se réveillait, savait toujours très bien ce qu’il voulait. En l’occurrence, célébrer ces chansons du terroir qui avaient, parallèlement au gospel et à égalité d’intensité avec lui, bercé son enfance épanouie à l’ombre du sourire maternel et de cette poésie populaire d’autant plus indicible qu’elle était la bande-son murmurée de l’évanescent Rêve Américain, ce mythe fugitif auquel ne croyait plus trop Johnny Cash lui-même, ami du King et Titan des lieux. Mais Elvis, quand il le voulait, pouvait redonner corps à sa foi, et ressusciter mère et mythe, rien qu’en chantant à ce niveau…

C’est ce qu’il fit alors, en majesté et toutes voiles dehors ! En 1971, dix de ces 34 titres ( plus deux enregistrés au canon en septembre ) atterrirent sur l’album Elvis Country original paru en janvier ( chaque chanson étant liée à la suivante par un très court extrait de l’alors réservée « I Was Born Ten Thousand Years Ago », qui fit aussi office de sous-titre – à ne pas confondre avec la gouleyante « A Hundred Years From Now » de Lester Flatt et Earl Scruggs, « grands frères country » d’Elvis s’il en fut !). Onze autres leurs succedèrent sur l’autre album « country » d’Elvis, Love letters, publié en juin de la même année. Ils sont donc aujourd’hui réédités sous forme d’un double CD intitulé Elvis Country: Legacy édition et comprenant vingt neuf titres, puisqu’aux vingt trois originelles s’ajoutent six inédits, dont la fameuse « I Was Born 10000 Years Ago », cette fois en entier ! Allez, on se lance : en dehors de « Heartbreak Hotel » et de « In The Ghetto » – ou de ses incroyables prestations sur les albums « gospel » ( à « Légacyser » de toute urgence ! ), jamais le King n’a aussi somptueusement déployé sa voix d’exception que sur « I Really Don’t Want To Know », « Snowbird », « I Washed My Hands In Muddy Water », « Rags To Riches » ou le mélancolissime « Funny How Time Slips Away » d’un auteur débutant encore mal connu, Willie Nelson : du caviar de pur bonheur pour ces fêtes en temps troublés…




Cette superbe version n'est hélas pas dans cet albums.
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MessageSujet: Re: Elvis Presley   Elvis Presley Icon_minitimeMer 16 Aoû - 15:32


16 août 1977 : décès d'ELVIS PRESLEY à l'âge de 42 ans à MEMPHIS

Elvis Presley 2014ElvisPresley_Getty74290869_100414-1





Ils sortent une compilation banale pour le coup

Elvis Presley Sample10

Son seul intérêt est d'être dispo partout.  Puis je ne suis pas sûr que ces grands shows symphoniques soient ce qu'il y a de plus intéressant dans sa carrière  ...


5 TITRES D'ELVIS
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MessageSujet: Re: Elvis Presley   Elvis Presley Icon_minitimeMer 16 Aoû - 15:38

http://www.lepoint.fr/pop-culture/musique/elvis-presley-pour-les-nuls-ses-cinq-plus-grands-albums-16-08-2017-2150293_2946.php


Elvis Presley pour les nuls : ses cinq plus grands albums


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Elvis Presley en 1973. © Metro Goldwyn Mayer / Cinema Ass / Collection Christophel/ Metro Goldwyn Mayer / Cinema Ass
PAR MATHIEU ALTERMAN


Publié le 16/08/2017 à 12:11 | Le Point.fr
À l'occasion des 40 ans de la mort du "King", célébrés aujourd'hui, voici les cinq chefs-d'œuvre incontournables d'une discographie abondante et inégale.


Quarante ans après sa disparition, le 16 août 1977 à Memphis, à l'âge de 42 ans, Elvis Presley conserve son titre d'icône du rock'n'roll. Par son avant-gardisme musical, sa voix unique et son déhanché immortel, le « King » a influencé plusieurs générations d'artistes d'horizons très divers et hante toujours nos inconscients collectifs, en image comme en musique. Pour ses millions de fans à travers le monde, la mort prématurée d'Elvis, officiellement due à une arythmie cardiaque provoquée par une surdose de médicaments (la réalité fut un peu plus complexe), reste une immense perte qui laissa inconsolables les plus fidèles. À l'évidence, le mythe perdure autant que ses morceaux les plus légendaires. Pour les oreilles peu familières du chanteur-acteur du Mississippi, voici notre suggestion d'une compilation de ses cinq albums à (re)découvrir en priorité.

Elvis Presley (1956)

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Pochette de l'album Elvis Presley (1956). © RCA Victor

Devenu star en six mois, Elvis rencontre son manager devenu légendaire, le Colonel Parker (qui n'avait bien entendu jamais été Colonel), et signe dans une grosse maison de disques, RCA. Celle-ci rachète à Sun Records quelques morceaux qui composent la moitié du disque portant le nom de l'artiste. L'autre moitié fut enregistrée à Nashville, en deux jours de janvier 1956 et pas un de plus. Premier disque de rock à franchir le million d'exemplaires vendus, Elvis Presley enchaîne les hymnes : "Blue Suede Shoes", "Heartbreak Hotel" (initialement un single et ajouté depuis à l'album), "I Love You Because", "Blue Moon"... Le disque, numéro un aux États-Unis et en Angleterre, suscite une explosion des vocations (peu de jeunes aspiraient à devenir chanteur de rock'n'roll avant 1956) et la pochette entre dans la légende. Celle-ci servira de modèle pour les Clash de London Calling ou le Tom Waits de Rain Dogs. Juste avant la sortie de l'album, Elvis apparaît pour la première fois à la télévision : le monde ne s'en remettra pas. La guerre était vraiment loin.


King Creole (1958)
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Pochette de l'album KIng Creole (1958). © RCA Victor
Elvis Presley est au-delà d'une star, il est « le King ». Celui que les jeunes copient. Mais l'angoisse du retour à la pauvreté ne disparaîtra jamais et, pour assurer des rentrées d'argent de plus en plus importantes, le chanteur va céder aux sirènes d'Hollywood. Après Love Me Tender, Loving You et Jailhouse Rock, King Creole est son quatrième film d'affilée, peut-être le meilleur. Au moins sans doute le plus profond, car Elvis doit incessamment sous peu partir pour deux ans sous les drapeaux et qu'il a peur que tout s'écroule. Il se donne à fond sur cette bande originale : sauvage sur « Trouble » (écrite tout comme la chanson titre par les fidèles Jerry Leiber & Mike Stoller) ou bluesy sur « Crawfish » en duo avec Kitty White. L'album offre un son différent, moins commercial, plus moite. Le bayou, les cuivres, le stupre, la fièvre... un dernier tourbillon avant de rejoindre l'armée. Et bientôt la fin


Elvis is Back (1960)
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Pochette de l'album Elvis Is Back! (1960). © RCA Victor
Le retour du fils prodigue. Elvis a fait son service militaire comme un bon Américain, il a même servi en Allemagne tel un héros. Tout se passe comme sur des roulettes, l'enregistrement est luxuriant, pour la première fois en stéréo ,et demeure toujours, 57 ans après, un délice pour tester sa chaîne hi-fi. « Fever », « The Girl of My Best Friend », « Such a Night », « Reconsider Baby »..., il n'a jamais aussi bien chanté et se fait plaisir, guidé par l'esprit de sa mère, disparue pendant son service. Plus posé, moins innocent, c'est un Elvis adulte qui revient avec cet album. Les critiques de l'époque y voient son meilleur disque, mais étrangement les ventes ne suivent pas aux États-Unis avec « seulement » 300 000 exemplaires écoulés. Les conséquences seront rudes pour le « King » : le Colonel Parker fait tourner deux films par an à son poulain, accompagnés de BO insipides où l'on ne retrouve que rarement la magie d'antan. Les sixties seront bien longues pour l'artiste...


From Elvis in Memphis (1969)
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Pochette de l'album From Elvis in Memphis (1969). © RCA Victor
En 1968, Elvis est rincé. C'est un has-been, dont les films n'intéressent plus personne. Il ne s'est pas produit en public depuis 1958 et sa dernière télé remonte à 1960, en duo avec Frank Sinatra. C'est peu dire que les Beatles et Bob Dylan l'ont rangé au rayon des antiquités. Seulement voilà, Elvis sait bien tout ça. Et veut revenir. Il envoie bouler (pour la seule et unique fois) son manager qui propose alors un show TV avec des chants de Noël et offre au public un come-back télévisuel historique sur NBC, tout de cuir vêtu et retransmis dans le monde entier. Voilà pour la remise en jambes. En 1969, il stoppe net sa carrière d'acteur, s'enferme deux mois à l'American Sound Studio de Memphis et y enregistre un bijou d'album soul, parfaitement synchrone avec son époque, où tout son amour pour les musiques du sud des États-Unis se voit littéralement transcendé. En guise de premier single, « In The Ghetto » cloue tout le monde sur place. Le chanteur est de retour parmi les vivants et il peut remonter sur scène. Mais il ne sortira plus jamais d'album de ce niveau, comme s'il avait tout donné à 35 ans. Ultime baroud d'honneur avant la dégringolade.


The Sun Sessions (1976)
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Pochette de l'album The Sun Sessions (1976). © RCA Victor
En 1976, soit un an avant la mort d'Elvis, sortent enfin regroupés sur un album les premiers enregistrements du « King » sur le label Sun. La presse célèbre le disque comme la réédition de l'année et les punks eux-mêmes l'adoubent comme une influence majeure qu'ils assimileront pour l'année qui suit. Disons-le en toute simplicité : ces 16 pistes, capturées en 1954 et 1955, sont tout bonnement les tables de la loi. Alors âgé de 20 ans, Elvis y est seulement accompagné par Scotty Moore (guitare) et Bill Black (basse) et enregistre les prémices du rock'n'roll sur 78 tours. Le producteur Sam Phillips raconte que c'est en entendant le petit gars du Mississippi chanter « That's All Right (Mama) » qu'il comprit avoir trouvé ce qu'il cherchait depuis toujours : de la country mélangée au rythm and blues. Bingo ! John Lennon déclara un jour : « Avant Elvis, il n'y avait rien » et les critiques trouveront à son sujet la formule du « Blanc qui chante comme un Noir ». C'est faux : Elvis chantait comme personne.
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MessageSujet: Re: Elvis Presley   Elvis Presley Icon_minitimeMer 16 Aoû - 19:02

Laurent a écrit:

16 août 1977 : décès d'ELVIS PRESLEY à l'âge de 42 ans à MEMPHIS

Elvis Presley 2014ElvisPresley_Getty74290869_100414-1





Ils sortent une compilation banale pour le coup

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Son seul intérêt est d'être dispo partout.  Puis je ne suis pas sûr que ces grands shows symphoniques soient ce qu'il y a de plus intéressant dans sa carrière  ...


5 TITRES D'ELVIS
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je peux pas te laisser dire ça : Elvis n'a jamais fait de show symphonique, dans les années 70 il avait son band, le TCB avec des musiciens extraordinaires comme James Burton, Glen D. Hardin, Ronnie Tutt qui ont egalement joué sur les albums de Gram Parson et formé le 1er hot band d'Emmylou. a ca tu ajoutes un orchestre de 15 a 20 musiciens : le Joe Guercio orchestra. l'album dont tu parles est fait par le London Symphonique orchestra avec sa voix isolé, pour moi c'est a chier, je deteste ce genre d'albums ou les remix qu'on a put entendre. il est prévut ce soir a Memphis un concert virtuel avec un orchestre symphonique mais ce sera le 1er dugenre avec la voix d'Elvis, les concerts viruel precedents etaient toujours avec ces anciens musiciens
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MessageSujet: Re: Elvis Presley   Elvis Presley Icon_minitimeMer 16 Aoû - 19:20

ah oui d'accord, donc c'est complètement bidon ce truc. Autant se prendre une compilation dans le pire des cas
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MessageSujet: Re: Elvis Presley   Elvis Presley Icon_minitimeJeu 17 Aoû - 12:44

Laurent a écrit:
ah oui d'accord, donc c'est complètement bidon ce truc. Autant se prendre une compilation dans le pire des cas

a part pour avoir des orchestrations differentes et si tu aimes la musique symphonique mais sinon ca n'a aucun interet a part faire depenser du fric au fans qui collectionnent tous sur Elvis, ce n'est plus mon cas, je ne prends que ce que je n'ai pas encore
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