ALBUMS : 1996 - Revival 1998 - Hell among the yearlings 2001 - Time ( The revelator ) 2003 - Soul Journey 2009 - A friend is a friend ( David Rawlings ) 2011 - The Harrow and the Harvest 2015 - Nashville Obsolete ( David Rawlings ) 2017 - Poor David's Almanack ( David Rawlings ) 2020 - All the Good Times (are Past and Gone)
ARCHIVES 2016 - Boots n°1 - The Official Revival Bootleg ( 21 démos issues de Revival ) 2020 - Boots No. 2: The Lost Songs, Vol. 1 2020 - Boots No. 2: The Lost Songs, Vol. 2 2020 - Boots No. 2: The Lost Songs, Vol. 3
BO DE FILMS : 2000 - BO O'Brother
PRINCIPALES COMPILATIONS : -
DVD : 2001 - Down from the mountain, BO Live de O'Brother 2001 - Time ( the revelator ) - bonus 2005 - Apparition dans le DVD de Norah Jones à Nashville
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Laurent Admin
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Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mer 4 Fév - 21:39
En mettant à jour leurs sorties, je me demande ... ce qu'ils deviennent. Aucun album depuis 6 ans.
Ils ont fait quelques participations aux disques de Bright Eyes, Alison Moorer, et Del McCoury ...
Laurent Admin
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Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mer 11 Nov - 11:50
Nouvel album de Dave Rawlings avec un paquet d'invités !
Reprise d'une chanson de RYAN ADAMS mais que RAWLINGS avait co-écrit !
DAVID RAWLINGS ( featuring GILLIAN WELCH ) - To Be Young (Is To Be Sad, Is To Be High)
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Laurent Admin
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Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Lun 7 Juin - 19:49
Superbe interview du magazine français ELDORADO qui montre une Gillian Welch plus brute de décoffrage que la gentille fille timide qu'elle semble être
Interrogée suite aux résultats de notre Top 100, Gillian Welch répond aux questions de Marc Zisman sur la genèse de Time (The Revelator).
Dans votre discographie, ce troisième album était aussi le premier à être produit par David Rawlings. Pourquoi n'aviez-vous pas continué à travailler avec T Bone Burnett ?
En fait, on avait commencé à travailler avec lui, mais l'ambiance s'était rapidement détériorée. On avait même failli se battre, un soir. Ensuite, on est resté longtemps sans pouvoir se parler… En même temps, je pense aussi que, de toute façon, il était écrit que ce disque devait être produit par David. Pour moi, cet album est toujours associé à un incroyable sentiment d'autosuffisance. Et je crois qu'il fallait vraiment qu'on le fasse nous-même.
Qu’aviez-vous à l’esprit pour ce troisième album ? Il semble plus brut et plus épuré que Hell Among The Yearlings, son prédécesseur. Est-ce que vous vous sentiez attirés par le concept de “less is more” ?
Oui, et c’est aussi lié à l'idée d’autosuffisance dont je parlais précédemment. A l’époque, j’avais un peu l'impression que nous vivions dans un monde parallèle. Il y avait Dave, moi et Matt, notre ingénieur du son… Je ne me levais jamais avant le coucher du soleil et je ne me sentais plus vraiment en phase avec le monde réel. De plus, Nashville ne fonctionne pas 24 heures sur 24. C’est une ville qui se couche tôt et où tout ferme à 22h. Et je me souviens que, souvent, nous passions le soir dans ces quartiers résidentiels déserts, cherchant désespérément un peu d'animation. Nous avions vraiment l'impression d'être complètement à l'ouest. Nous avions même envisagé de déménager... Personnellement, je me sentais de plus en plus détachée de ce qui nous arrivait. Et je pense que ce sentiment d'abandon, de relâchement, se retrouve dans cet album.
La plupart des chansons laissent l'impression de compos rock qui auraient été ralenties et jouées en acoustique. Qu'en pensez-vous ?
Notre intention était vraiment d'aller au plus simple… Par exemple, nous pensions beaucoup à la rigueur de la peinture Sumi-e (technique chinoise de dessin à l’encre portée à sa perfection par les moines bouddhistes Zen au 14ème siècle, NdlR). Avec une seule ligne, vous pouvez ainsi faire émerger toute une chaîne de montagnes, et même davantage. Nous cherchions vraiment à atteindre cette amplitude panoramique dans notre musique. Il est d'ailleurs intéressant de noter que plus vous réduisez vos moyens d'expression et plus l'horizon de vos possibilités tend à s'élargir.
Ce qui est intéressant avec Time (The Revelator), c'est que tout en étant très ancré dans une tradition qui remonte à la Carter Family il sonne aussi vraiment comme un album de 2001. Etait-ce important pour vous que le disque reste ainsi relié au présent ?
Oui, je pense qu'une œuvre d'art ne peut pas être vraiment accomplie si elle ne s'inscrit pas, d'une façon ou d'une autre, dans son époque. Qu'elle soit ou non tournée vers le passé importe peu… En tout cas, je pense de plus en plus que tout se joue dans la captation de l'instant présent. C'est là que se trouve l'impression de vérité qui nous permet, par exemple, d'être profondément émus par des œuvres très anciennes. Et si l'émotion est là…
Il est aussi intéressant de voir que même si vous êtes fan de Lefty Frizell, Bill Monroe ou Ralph Stanley, vous n’utilisez pas vraiment leurs armes, qu'il s'agisse de la pedal steel ou du fiddle…
Vous savez, ce sont des armes qui me plaisent beaucoup ! En même temps, je n'ai pas forcément envie de les brandir. Ceci dit, l'explication est plus simple… Il s'agit d'un problème technique. Comme ma voix se trouve facilement recouverte par les instruments, nous essayons toujours de réduite autant que possible les orchestrations de nos enregistrements en studio. Bizarrement, seules les cordes ne couvrent jamais ma voix.
D’où est venue l’idée d’intégrer cette version de “I Want To Sing That Rock and Roll”, enregistrée live au Ryman Auditorium ?
C’était l’une des premières fois où nous avons joué cette chanson. On avait essayé de l’enregistrer en studio à plusieurs reprises, mais on n’avait jamais réussi à la jouer aussi bien que sur scène. On a donc utilisé la version live enregistrée avec un simple micro Neumann U47. Le micro était dément, l’acoustique de la salle également… Alors, pourquoi pas ? Et puis, il y a ce passage amusant où le public applaudit le solo de Dave. L'ambiance est si intime à cet instant et, subitement, vous réalisez que vous n'êtes pas seul. D'un coup, c'est tout un monde qui fait irruption. C'est sympathique…
Le titre de l'album était un hommage à la chanson “John The Revelator” de Blind Willie Johnson ?
Oui, bien sûr ! Je connaissais cette chanson de Blind Willie et c'est même grâce à elle que le mot “revelator” m’est venu à l’esprit.
Avec cet album vous avez lancé votre propre label, Acony Records ? Pourquoi ce besoin ?
Eh bien, disons que c'est un peu toujours la même idée d'autosuffisance. Jerry Moss et Herb Alpert, ceux qui m’avaient signé à l'origine, avaient pris leur retraite. Ces mecs étaient de la vieille école. Ils voyageaient en jet privé, venaient à nos concerts dans leur grand manteau de cachemire, passaient nous prendre en limousine et parlaient de nous comme leur “numéro folk”. J’adorais ces types ! Surtout Jerry que je vois encore de temps en temps. Finalement, lorsqu’ils ont pris leur retraite, le label a été vendu, puis intégré dans une énorme société. Or je ne voulais pas faire partie de ce système démesuré. J'étais persuadée de me faire entuber et qu'à un moment ou à un autre, j'allais me retrouver coincée par un contrat, avec des disques introuvables, etc. Du coup, j'ai décidé de monter mon propre label, comme Sam Phillips l'avait fait, à l'origine, avec Sun Records ! Je voulais surtout rester aussi éloignée que possible des salades habituelles de l'industrie du disque.
Quelle est l’origine de ce trip fou et beau qu’est “I Dream A Highway” ? Ces quatorze minutes sont-elles sorties, comme ça, en plein enregistrement, ou bien est-ce que vous en aviez déjà l'idée en franchissant la porte du studio ?
Oh la, c’est une longue histoire ! Pour moi, cette chanson est un peu à l'image de la fabrication de ce disque. Tout a commencé par une petite mélodie que Dave m'avait jouée, un jour, comme ça. Ensuite, j'ai écrit le texte du refrain, puis je me suis lancée dans une forme d’écriture libre. Un truc en prose. Plus tard, Dave s’est plongé dans toutes ces pages d’écriture et a remis un peu d'ordre dans cette prose. Et c'est comme ça qu'est né “I Dream A Highway”. Une fois le morceau terminé, nous avons commencé à redouter les réactions des gens. Nous étions persuadés que certains allaient détester la chanson… Du coup, nous avons ajouté “Everything Is Free”. Pour nous, ce titre était un peu là pour offrir une fausse fin au disque. Comme ça, ceux qui détestaient “I Dream A Highway” pouvaient s'arrêter là, sans avoir à se taper le final de quatorze minutes. Personnellement, cette chanson ne m'a jamais dérangée ou semblée trop longue…
Comment des mots de Taj Mahal (“they caught the katy and left me a mule to ride”) se sont-ils retrouvés sur “Revelator” ?
Oh, c'était juste un petit passage folk qui traînait dans un coin de ma tête… En fait, ces quelques mots viennent d’un titre de Yank Rachell. Près de Minneapolis, j'ai croisé pas mal de musiciens qui connaissaient Yank ou qui avaient joué avec lui. Si vous vous baladez du côté de Bloomington ou de Brown County, vous entendrez cette chanson tout le temps.
L’album a été enregistré dans le fameux Studio B de RCA à Nashville, un lieu mythique où Elvis, les Everly Brothers et des tonnes d'autres géants sont passés. L’atmosphère avait-elle quelque chose de particulier ?
Oui, extrêmement. Mais il faudrait une interview entière pour en parler…
Huit ans après sa sortie, quel regard portez-vous sur Time (The Revelator) ? Quelle valeur donnez-vous à ces dix chansons ?
Vous savez, sur les dix chansons de l'album, il y en a sept que nous jouons presque à chaque concert ! Personnellement, j’aimerais juste pouvoir ajouter “I Dream A Highway”, à chaque fois. Malheureusement, elle est tellement longue qu'on ne l'a finalement jouée qu'à trois reprises. Et, chaque fois, ça a été un moment mémorable, inconfortable et sauvage. Je suis vraiment fière de ce disque… Lorsqu’il a été fini, nous étions exténués. Nous y avions mis tellement de nous-mêmes que nous étions presque devenus fous. J’ai pleuré d’épuisement à de nombreuses reprises en le faisant… Mais, pour revenir à votre question, je dirais que les deux premiers albums contenaient des chansons d'une valeur sensiblement égale. Ce qui a fait la différence, c'était, à mon avis, que celles de Time (The Revelator) étaient en parfaite connexion avec leur temps. D'ailleurs, c'est même plutôt cocasse, quand on pense à quel point nous étions déconnectés du monde en faisant ce disque. Avec cet album, tout aura été une question d'urgence. Nous n'avions pas d'alternative : soit nous “nagions”, soit nous “coulions” pour de bon ! J'ai vraiment essayé d'exprimer mes troubles, ma tristesse et le sentiment d'être perdue dans ce monde… Et je pense que cette honnêteté, cette façon d'exprimer ses sentiments sans détour et avec une grande précision est vraiment ce que l'on peut offrir de mieux à l'humanité. C'est, en tout cas, ce que les artistes doivent essayer d'offrir au plus grand nombre.
A la même époque, vous et Dave Rawlings avez aussi participé à l'enregistrement de Heartbreaker de Ryan Adams. Quel souvenir en gardez-vous de ce disque ?
Mmm, disons que ça aura été assez débridé. Assez fou, même... Vous savez, Ryan est quelqu'un d'assez capricieux en studio. Même s'il est aussi vrai que ça va avec sa personnalité… Je pense qu'à cette époque Nashville était ce qu'il fallait pour Ryan. Et j'ai été heureuse de faire partie de cette aventure. Je regrette juste que la ville soit si vite devenue trop petite pour lui…
Laurent Admin
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Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mer 8 Sep - 8:18
Ils seront là au CAFE DE LA DANSE à PARIS le 21 septembre 2010
Bon, bah ça sera mon 1er et seul concert de l'année peut-être ( je ne suis pas très concert )
GILLIAN WELCH & DAVID RAWLINGS - Look at Miss Ohio ( 2004 ) [youtube]9NPEj63d0jY?fs=1&hl=fr_FR[/flash]
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Laurent Admin
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Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mar 14 Sep - 21:45
Je prends mon billet demain !
Le 21 septembre, l’une des plus grandes songwriteuses américaines se produira sur la scène du Café de la Danse. Pour beaucoup, Gillian Welch est une parfaite inconnue… Pour certains, ce nom évoquera Didn’t Leave Nobody But The Baby qu’elle interprète avec Emmylou Harris et Alison Krauss, et I’ll Fly Away chanté en duo avec Krauss sur la bande originale du film O’Brother des frères Coen… Pour un petit nombre enfin, Gillian Welch n’est autre que l’une des plus importantes songwriteuses folk et country de ces quinze dernières années. Tout simplement…
Avec seulement quatre albums studio à son actif (Revival en 1996, Hell Among The Yearlings en 1998, Time (The Revelator) en 2001 et, le dernier en date, Soul Journey en 2003) , la Newyorkaise a imposé sa plume, sa voix et son classicisme virginal. Epurée dans l’instrumentation conçue par son compagnon le guitariste David Rawlings, ses chansons sont d’essence organique. Elles malaxent en mots pesés des histoires intemporelles de la vie de tous les jours. Comme le bluegrass d’antan, le folk des anciens, la country la vraie, le blues le plus rural, Welch chante la terre, les petites gens, les âmes perdues ou désolées, la vie, la mort, la nature aussi…
En 2010, toutes ces « valeurs » pourraient paraître obsolètes, rébarbatives ou déjà vu. Pourtant, le génie de cette poétesse balaie d’un revers de guitare ou d’une phrase susurrée ces partis-pris. La venue de Gillian Welch au Café de la Danse, le 21 septembre, est un événement car sa toute première escale parisienne ! Une soirée placée sous le signe de la grâce, du bon goût. Une soirée à ne surtout pas rater.
Laurent Admin
Messages : 3258 Date d'inscription : 12/10/2008 Age : 48
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mer 22 Sep - 10:52
Très bon concert dans le cadre intimiste du Café de la Danse, à la Bastille. Cela n'a pas échappé à Gillian Welch : "j'ai l'impression de vous avoir invité dans mon salon et d'être entres amis".
Le concert exactement comme je l'imaginais, 2 voix - 2 guitares. Gillian Welch a gratté aussi le banjo et a joué un peu d'harmonica. Une très belle complicité et de l'humour aussi :
Ainsi après cette chanson "Wayside-Back in time" qui évoque notamment l'envie de vivre à San Francisco pour fuir la déprime de Nashville :
GILLIAN WELCH : "Il y'a 2 type de chanteurs, ceux qui font tout pour intégrer le nom de la ville où ils font des concerts dans leur chanson et ceux qui ne le font pas. Je crois que j'ai loupé l'occasion de le faire à l'instant. Et en même temps, si j'avais remplacé Nashville par Paris, vous m'auriez hué ( rires )"
DAVID RAWLINGS : "Oui, mais t'aurais pu remplacer San Francisco par Paris. T'y as pas pensé, ça veut dire que tu n'aimes pas Paris ?"
GILLIAN WELCH un peu surprise : "Ah mais si, mais si, c'est très joli !" ( rire du public )
ou encore :
GILLIAN WELCH regardant le public et son mari : "On plaisantait de ça tout à l'heure devant le Café de la Danse avant que ça ouvre. J'ai remarqué que l'accueil chaleureux du public dépendait du nombre de jours nuageux dans la ville ... On a joué plusieurs fois dans des villes comme Seattle ... ( réaction du public, avec pas mal d'américains de Paris ), Melbourne ... Stockholm ( rire du public )
Joli soirée simple et remplie de complicité entre les 2. Et à la clé une info ... LE NOUVEL ALBUM EST PRESQUE TERMINE ... 7 ans après Soul Journey.
Chose amusante, beaucoup de gens ne les connaissaient pas vraiment et demandaient systématiquement d'acheter le dernier album au stand, et pas un autre. Moi j'ai racheté l'album de 2001, mon préféré, le mien étant en bien mauvais état.
Voilà pour mon unique concert 2010. Et n'hésitez pas à aller dans cette salle, un vrai salon en effet à 2 pas de Bastille
hillbilly
Messages : 139 Date d'inscription : 29/09/2009
Sujet: Mer 22 Sep - 14:28
Hi,
La prochaine fois, faudra s'identifier avec un panneau, car j'y étais également et suis en phase avec tes impressions. (dans la même salle il y a quelques mois, Steve Earle seul avec sa guitare, là aussi un beau moment).
Comme elle est belle cette expression musicale dépouillée où Country, Gospel, Blues se retrouvent sans frontières marquées, comme aux plus belles heures de la gestation de la musique populaire US, avant que business et "morale" ne les clivent définitivement en Blues, Jazz, Country etc....
Hee Haw
P.S. Ils ont promis de revenir pour la promo du prochain CD alors, à surveiller et j'engage les amateurs de New Country à venir tater du traditionnel par le biais de ces artistes trop confidentiels et pourtant bien loin d'être ringards.
Laurent Admin
Messages : 3258 Date d'inscription : 12/10/2008 Age : 48
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mer 22 Sep - 21:55
Alors s'ils reviennent, c'est PARFAIT ! En tout cas oui, c'est du folk, de la country music, loin des pop stars de Nashville. Et ça fait du bien.
Grâce à Elcan du forum BRUCE SPRINGSTEEN, voici la Set List ( sûre à une ou 2 chansons près ). entre parenthèse, l'année de sortie de la chanson sur album.
Set 1 Orphan Girl ( 1996 ) Make A Pallet On The Floor ( 2003 ) Elvis Presley Blues ( 2001 ) Rock Of Ages ( 1998 ) Dear Someone ( 2001 ) Want To Hear That Rock'n'roll ( 2001 ) Annabelle ( 1996 ) Wayside Back In Time ( 2003 ) Throw Me A Rope Red Clay Halo ( 2001 )
Set 2 My First Lover No One Knows My Name ( 2003 ) Look At Miss Ohio ( 2003 ) By The Mark ( 1996 ) The Revelator ( 2001 ) Sweet Tooth ( 2009 ) It’s Too Easy ( 2009 ) Caleb Mayer ( 1998 ) Everything IS Free ( 2001 ) I’ll Fly Away ( BO de O'Brother ) I'm Going To Jackson
Dernière édition par Laurent le Ven 24 Déc - 2:15, édité 1 fois
thanu
Messages : 312 Date d'inscription : 05/11/2008 Age : 45 Localisation : Paris
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Ven 19 Nov - 16:49
Gillian Welch est apparue hier soir dans le show de Conan O'Brien où elle accompagnait les Decemberists sur leur nouveau single "Down By The Water".
Les Decemberists sortiront leur nouvel album orienté country-americana, The King is Dead, le 18 janvier. Gillian Welch y collabore sur 7 des 10 titres.
Laurent Admin
Messages : 3258 Date d'inscription : 12/10/2008 Age : 48
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Ven 19 Nov - 18:39
Wow, je ne connais pas ce groupe, mais elle y participe énormément ! Qui sont ils ces Decemberists ?
steph1313
Messages : 3 Date d'inscription : 11/08/2010
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Ven 19 Nov - 19:31
juste ce petit message pour vous remercier car je découvre de nouveaux groupes ou chanteur en venant sur ce site sinon j'attend la sortie du best of d'alan jackson 34 numbers one(j'espere que je pourrais le telécharger sur amazon) a plus thanks
thanu
Messages : 312 Date d'inscription : 05/11/2008 Age : 45 Localisation : Paris
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Ven 19 Nov - 21:13
Citation :
Qui sont ils ces Decemberists ?
C'est un groupe indie-folk assez populaire... il se trouve que je les ai vu 2 fois en concert sans être un grand fan... en tout cas je suis curieux d'entendre leur prochain album, en espérant que Gillian Welch soit mieux utilisée que sur ce morceau...
Laurent Admin
Messages : 3258 Date d'inscription : 12/10/2008 Age : 48
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Mer 29 Juin - 20:07
NOUVEL ALBUM 2011 !
Je suis tombé dessus par hasard à Virgin Megastore des Champs. Après les avoir vu en concert en septembre 2010, j'ai pas hésité une seconde
The Harrow and the Harvest
Acony Records is proud to announce that on June 28, 2011 they will release The Harrow & The Harvest, the new album by Gillian Welch, featuring ten new songs recorded at her own Woodland Sound Studios in Nashville, Tennessee and produced by David Rawlings.
On May 30, 2011, Gillian Welch and David Rawlings will embark on a North American tour supporting The Harrow & The Harvest that will continue through the summer and into the fall. The acclaimed duet will visit over seventy cities in their most extensive tour in over a decade.
The Harrow & The Harvest will be first previewed at 40 independent record stores coast to coast in the week prior to release. Visit the listening party page for a complete listing of dates, times and locations.
Track Listing: 1. Scarlet Town 2. Dark Turn Of Mind 3. The Way It Will Be 4. The Way It Goes 5. Tennessee 6. Down Along The Dixie Line 7. Six White Horses 8. Hard Times 9. Silver Dagger 10. The Way The Whole Thing Ends
GILLIAN WELCH & DAVE RAWLINGS - The Way It Goes ( 2011 )
Hard Times ( reprise déjà par Johnny Cash, Emmylou et Dolly, Bruce Springsteen et surement bien d'autres ), Silver Dagger ( reprise par Dolly et Joan Baez ) sont des classiques du folk américain, ça me surprend un peu qu'ils n'aient pas réussi après 8 ans sans album à faire plus de nouvelles chansons. Mais si la qualité est là, c'est le plus important.
Dernière édition par Laurent le Ven 24 Déc - 2:12, édité 2 fois
Laurent Admin
Messages : 3258 Date d'inscription : 12/10/2008 Age : 48
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Dim 10 Juil - 14:41
De retour chez Conan O'Brian, quelques mois seulement après la vidéo de Thanu avec The Decemberists :
GILLIAN WELCH & DAVID RAWLINGS - The way it goes ( Juin 2011 )
20e des ventes aux USA à sa sortie et 25e en Grande Bretagne, ce sont de très beaux résultats !
Dernière édition par Laurent le Ven 24 Déc - 2:18, édité 2 fois
Lunatic
Messages : 499 Date d'inscription : 22/03/2009 Age : 37
Sujet: Re: Gillian Welch & David Rawlings Dim 18 Déc - 8:01
J'aime beaucoup c'est une artiste que je ne connaissait pas mais que je commence a découvrir en écoutant c'est album, je n'en possède malheureusement pas mais sa ne serait tarder.
Laurent Admin
Messages : 3258 Date d'inscription : 12/10/2008 Age : 48
CD Live, non je suis quasiment certain qu'il n'y en a pas. J'essaye de me rappeler si un des albums est sorti avec un bonus live. Possible, je ne sais plus.
Sur le BOOTS n°1 sorti en 2016, on a des versions alternatives du 1er album REVIVAL de 1996 avec des donc enregistrements à la maison, en 1 seul live à la radio.
Sinon j'ai le DVD de 2002 sorti dans la foulée du carton du film O'Brother, avec 8 chansons LIVE :
On les voit et entend aussi sur le concert de la BO du film, toujours en 2002 : CD ou DVD :